Art du CTA, arbres et abonnements.

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L’UX writing, c’est l’art du CTA.


Le Call To Action, hyperlien sexy, incite à agir.

Il appelle le doigt à se mouvoir.

Le digital rejoignant le numérique.

Boutons détonants. Expériences teasantes.


On y vient sans se sentir obligé d’y aller. On doit y croire. Avoir envie.

Certaines marques pensent qu’il faut qu’on navigue en interne...

Or, une expérience de marque réussie, victoire de marque, impacte le réel.

L’utilisateur·ice sort de ses marques.

Prend le large. Explore.

 

Le CTA qui cache la forêt

 

C’était l’arbre qui cache la forêt.

Si tu cliques, tu parcoures. Tu voyages. Tu t’aventures.


Tu penses. Tu dépenses. Tu deviens arbre. Tu suintes de sève, des racines à la cime.

Tu bois du soleil et tu abrites la vie. Tu es forêt. Soulèvements de la terre.

Biodynamie. Vies sauvages. Torrents. Rivières. Océans. Volcans et vents.


***


L’expérience de marque a payé. (Ou pas) Mais est-on plus riche ?

Tu ne vis pas que d’amour et d’eau fraiche. L’arbre est habitat.

Tu es un toi(t). Un « nous ». Tu vis aussi d’humour et de fric !


L’UX writing, c’est l’art de matérialiser la sortie.


Abonnements et pizzas


Depuis plusieurs années, des millions de créateur·ices de contenus sont rémunérés par abonnement (subscription).

Le principe est simple : un prix fixe pour des produits ou services variables.

Comme pour Netflix ou n’importe quelle offre premium.

Mais il y a aussi la vente à l’unité (item/PPV/extra).

Ou encore les pourboires (les fameux tips).

Sans parler des revenus passifs (la monétisation), des parrainages (les referrals), du merchandising (produits dérivés) ou des NFT !


Les artistes, modèles ou influenceur·ses ont bien saisi les avantages de l’indépendance créative. Le personal branding. Les stratégies de communication. 

L’inbound marketing. La diversification (des sources, des revenus).

Nous, artisans ou artistes des mots, sommes retenus par un système ancien : les devis, les contrats, etc.


Nos concepts et notre art du CTA doivent-ils dépendre d’un projet ? 

Nos mots communiquent des mondes. Valent-ils moins que des images ?